Dans le "Dauphiné Libéré"
Dans "le Crestois"
Après Eurre, en janvier, l’Université de l’Avenir, l’association écologique qui s’est établie à la ferme des Buis à la place du projet de circuit automobile, a organisé une réunion d’information, ce vendredi à Roche sur Grâne. M Rodolphe Balz et d’autres membres du bureau ont présenté leur projet et ont répondu en toute transparence aux questions.
Cet ambitieux projet se concrétisera sur le long terme. Tout se fera en réseau avec d’autres lieux et, si possible, en impliquant les villages voisins. Les cultures de la ferme sont déjà en cours de conversion mais l’association s’intéressera également à l’éducation avec un projet de collège, à l’habitat, aux énergies, à l’informatique, à la médecine, avec un seul but « une recherche en vie meilleurs ». Ces personnes ne sont pas pour autant que des utopistes, ce sont des scientifiques forts d’une riche expérience. Nous ne pouvons que leur souhaiter de réussir.
Nous en parlions ici
Des effectifs légèrement en hausse, une réforme des rythmes scolaires en voie d’être revue : les inquiétudes que l’on pouvait avoir concernant la survie de l’école s’estompent. Elle devrait échapper à la fermeture pour ces prochaines années.
Dans le journal "Le Dauphiné Libéré"
Dans l'hebdomadaire "Le Crestois"
Co-fondatrice de notre association, Joyce Van Fenema nous a quittés à 2H du matin en sa maison familiale à Bois le Duc (Hertogenbosch) en Hollande. Notre chagrin est immense.
« La lumière a perdu de son intensité tout à coup.
Joyce est partie loin et avec elle la subtilité.
Dans les regards levés vers le château d’Autichamp, ce lieu de vie partagé avec son mari, ses amis, les simples relations, la peinture, son désir ardent de contacts, ses projets artistiques et de préservation du village tout en lui offrant une si généreuse ouverture sur le monde,
Se lit le chagrin.
Chacun baisse la tête et pleure et sent monter en lui, déjà, l’Absence.
Pas de retour, plus d’attente.
Mais des souvenirs lumineux, pétris de rires, de révolte, de déception parfois contre l’obscurantisme des esprits.
Des échanges, des actes, des envies communes.
Joyce est un être brillant.
Elle est inscrite ainsi dans nos cœurs :
Légère malgré le poids de la tristesse,
Et si Vivante dans ce qu’elle nous laisse.
Jusqu’au derniers jours elle nous dit : « Il est difficile de partir ». Nous répondons : « Il est si difficile de te voir partir ».
Déchirure sans cesse revisitée. »
Marie Rousse